La Crise Morale

Le passage qui ma plus frappé Père Goriot se trouve pendent que Rastignac attend pour que Delphine se prépare pour la bal de Madame Beauseant. Aux pages 326 et 327 Rastignac trouve une sombre philosophie pour s'expliquer le monde comme il le comprend au moment d'avoir laisse le père Goriot souffrir sans lui ni ses fille.

Ses réflexions se commencent ici: "Il voyait le monde comme un océan de boue dans lequel un homme se plongeait jusqu'au cou, s'il y trempait le pied." Alors même si ses crimes était "mesquins" il se voyait noyait de saleur au moment la. Il ne pouvait plus se croyait pur. En continuant , il simplifie les "grandes expressions de la société" en trois parts: "L'Obéissance, La Lutte et la Révolte" dont il trouve des parallèles avec "La Famille, Le Monde et Vautrin," respectivement. La, il est un peu comme Balzac en écrivant des types (et un peu comme Marx avec l'économie.) Une grande différence est que Balzac commence avec des simplifications qui deviennent des personnages complets, et Rastignac s'occupe de simplifier ce qu'il a compris. Mais, ils voient tous les deux une niveau sous la réalité qu'on n'échappe pas, même si on se croit seul en son genre ou indépendant en ses décisions. 

Ce réflexion rend Rastignac sans espoir. Il trouve que "L'Obéissance était ennuyeuse, La Révolte impossible, et la Lutte incertaine." Le conjugaison passe lie a l'obéissance signifie que Rastignac voit son passe comme Obéissance, puis il ne voit pas de future qui ne soit ni impossible ou bien incertain.
Mais avant qu'il puis déterminer son avenir, il cache ses peurs sous des justifications. D'un coup, il n'a plus peur que Delphine soit cruelle pendent que son père mort parce-qu'elle ne sait pas la gravure de son condition. L'amour lui guérit de son crise, même s'il est encore dans la détresse.