These aren't secrets, but I haven't told anyone either.
I may sound bipolar but I mostly just write about really great things or really bad things. Extremes, right?
I promise my feelings are continuous over the real emotions.

Tuesday, September 25, 2012

L'Opera


Des qu’elle était trahit et malade, Flaubert n’a pas beaucoup écrit du perspective d’Emma. Mais ca change à la scène d’opéra aux pages 302-306. A l’opéra, son imagination est rallumée. Sa passion pour la lecture et pour la chanson se mélangent et se confondent et enfin il y a seulement sa passion pour la fantaisie qui reste.
En écoutant la musique, « Elle se retrouvait dans les lectures de sa jeunesse » et plus dans le monde real.  Sa manière d’écouter est symptôme de cette connexion, parce que les paroles sont très importants et elle n’en manque pas, même que son mari n’entend rien sauf les instruments. Cette connexion est un peu superficielle, parce que l’opéra et les livres sont tous les deux romantiques etc. Mais les paroles ouvre une porte qui mène à une fantaisie plus profonde.
La partie qui décrit les arbres peints fait plus vrais l’expérience par la rendre dans une autre monde, comme si elle fallait se détacher complètement de la réalité pour se sentir a l’aise. « Elle n’avait pas assez d’yeux pour contempler » tous les illusions qui lui mènent à réfléchir sur sa tragédie passé et les vies qu’elle veut. Le manière dont ils sont décrit montre clairement qu’ils sont des « costumes, [… ] arbres peints qui tremblaient quand on marchait.. » mais les sentiments qu’ils apportent sont réels.
Pour Emma « La voix de la chanteuse ne lui semblait être que le retentissement de sa conscience, et cette illusion qui la charmait quelque chose même de sa vie. » C’est une instance dont la conscience de soi est inexacte.  Sur tout, « Elle connaissait à présent la petitesse des passions que l’art exagérait » mais au même temps elle le voit pareille à la fois à ses veux et à son histoire. On sait toujours que c’est une illusion, même en traitant comme une vérité. D’une façon, c’est pareille au travaille du lecteur avec un roman. Le terme anglais « suspension of disbelief » est pareil pour Emma à l’opéra que pour le lecteur avec un roman, sauf qu’Emma se perd un peu avec cette suspension. Mais, comme on n’a presque rien entendu de sa perspectif avant le scène d’opéra, il me semble qu’il faillait qu’Emma se perd dans la fantaisie pour que le lecteur la retrouve.

Ce partie du blog suivant est un peu détache du reste, mais je voulais remarquer quand même. Il m’a frappe que « …quand ils poussèrent l’adieu final, Emma jeta un cri aigu, qui se confondit avec la vibration des derniers accords. » A la page 352, il y a un autre cri. Quand Emma voit le mendient dégoutant, «Elle se retirait avec un cri. » Le mendient cri aussi, quant Hivert lui donne des coups de fouet : « il tombait dans la boue en poussant un hurlement. » Alors, la question de cri pourrait continuer depuis qu’elle était au foret avec Rodolphe et que M. Bovary a fait son erreur médicale avec le pied de l’homme. Mais je n’ais pas eu de grands idées à propos de ça.



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