These aren't secrets, but I haven't told anyone either.
I may sound bipolar but I mostly just write about really great things or really bad things. Extremes, right?
I promise my feelings are continuous over the real emotions.

Thursday, September 27, 2012

L'Ecriture Incontrollable


La puissance de lecture est un thème important dès le commence de Madame Bovary. Mais, à la fin, on trouve la puissance d’écrire qui se démontre très important aussi. Des que quelque chose est écrit, les effets sont hors du controle des personages, et ça leur morde la queue* plusieurs fois.
Les lettres d’amour qu’échangeait Emma et ses amants n’avait pas trop de puissance. Même, ils étaient symptômes d’impuissance de l’amour quand ses lettres à Léon devinaient plus externes. Le lettre de Rodolphe est la première d’avoir vrai signifiance. Mais sa puissance est diminuée quand elle est lue par Charles et il la trouve innocente. De la façon opposée, quand les lettres qui n’avaient pas trop de drame originellement sont trouvées,  elles deviennent tout d’un coup les meurtres de Charles. Alors en lisant, tout peut changer de signifiance même beaucoup de temps après les incidents.
Avec les signatures sur les billets, on trouve un pareil traitement. Pour Charles, c’était grand-chose de signer le premier, mais Emma n’avait presque pas de soucis en tout ce temps qu’ils accumulaient. Et quand le temps arrive qu’elle voie ce qu’elle a signé, c’est étonnant. Elle n’arrive pas à les effacer. Ce n’agit plus la littérature dont elle s’occupe, mais plutôt ses écritures propres.
Apres qu’elle s’est empoisonnée, elle écrit son lettre de suicide. Puis, dans son lit, elle a du mal à se débarrasser de « cet affreux gout d’encre. » (408) Alors ça la suit jusqu’à sa mort, ou bien elle l’apport jusqu’à sa mort. Quand Charles déligne l’extravagance funèbre, c’est aussi à l’écrit. Il aurait pu le dire, mais il l’a écrit, et cela donne une sens d’immobile et de durant.

*C’est plus belle en français qu’en anglais, je trouve.

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