These aren't secrets, but I haven't told anyone either.
I may sound bipolar but I mostly just write about really great things or really bad things. Extremes, right?
I promise my feelings are continuous over the real emotions.

Thursday, November 15, 2012

L’étranger et L’indigène


Le Horla commence avec un home très commode chez lui : « J’aime ce pays, et j’aime y vivre pare que j’y ai mes racines. » (1) Puis, un être vient de brésil lui déranger jusqu’à son suicide. Pour l’échapper, il faut seulement s’en fuir jusqu’à Saint Michel, ou Paris. Quand il n’est plus à sa maison, son cocher souffre à la main de l’être, alors c’est évident que l’être reste à la maison, sauf que son influence parait plus grande quand l’homme s’échappe à la bibliothèque puis se trouve retiré à la maison.
 C’est bizarre qu’il soit toujours en train de décider si ce sont des hallucinations, ou bien un être hors de lui. Cela vient soit de l’étranger ou soit tant proche que ce soit de lui-même. Au même temps que l’être vient d’ailleurs, il se sauve par se déplacer. Pourquoi cet être trouve-t-il des racines plus fortes que celles du narrateur ? Quand le narrateur se regard dans la glace, il voit son image supprimé par le Horla. Le Horla lui a enlevé de sa vie. Il est un conquérant de terrain, d’une manière.
Quand le narrateur détruit sa maison, il coup les racines. Puis, sa raison pour le suicide est qu’il ne peut plus s’échapper. Mais je crois qu’il faut se suicider parce qu’il n’y est plus. Cet être parfait lui a remplacé. 

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